jeudi 4 février 2010

Leçon de marketing

Cette semaine, j'ai trouvé dans ma boîte aux lettres la carte ci-dessous :

À ce jour, je n'ai pas participé à un si grand nombre d'événements de course, mais je dois dire que l'organisation de la Fin de semaine des courses d'Ottawa m'impressionne. Après avoir reçu à la fin janvier un courriel rappelant la fin prochaine des prix lève-tôt (15 février), voilà que les organisateurs reviennent à la charge avec une carte personnalisée, affichant clairement mon temps au demi-marathon en 2009, pour m'inviter à participer en 2010 pour améliorer mon temps, courir une autre distance ou vivre l'expérience en famille ou entre amis.

Pas étonnant qu'il y ait une aussi forte participation à la Fin de semaine des courses. Non seulement tout se passe bien sur place, mais le marketing de l'événement est également très efficace.

Pour toutes ces raisons, j'avais le goût d'aller à Ottawa encore cette année. Et je ne serai pas seul. Le samedi, je vais participer au 2 km avec ma copine et mes deux demoiselles et le lendemain, pendant que je vais courir le marathon, la Belle-soeur participera à son premier demi-marathon. Notre hôtel est réservé, les filles ont très hâte. Ce sera sans doute une très belle expérience sportive et familiale.

Je ne sais pas si les organisateurs du Marathon de Montréal s'inspirent de ce qui se fait ailleurs.

Je doute que je recevrai en février ou en mars un courriel pour m'informer que les tarifs augmenteront après le 31 mars.

C'est dommage...

3 commentaires:

Sylvie a dit…

Montréal à tellement de chemin à faire pour tenir un événement à la hauteur de plusieurs marathons, les gros comme les petits. C'est effectivement dommage!

Jroad a dit…

Ouf !...
je vois que vous n'avez jamais courru Montréal....
oubien vous ne savez pas comment prendre vos courriels.

Cela fait 3 ans que je reçois un courriel d'eux pour m'aviser que leurs tarifs augementent à la fin mars...

Éric a dit…

@Jroad : J'ai couru le demi l'an dernier. Les organisateurs ont donc mon courriel. J'attendrai donc avec « impatience » un courriel d'eux d'ici le 31 mars, un courriel que je prendrai sans aucune difficulté, soyez sans crainte... Je suis heureux de constater que vous prenez la peine de vous porter à la défense des organisateurs du Marathon. L'opinion générale va malheureusement dans l'autre sens. En tant que Montréalais, je souhaite de tout coeur que notre marathon devienne un événement majeur de notre belle ville. Mais il ne faut pas jouer à l'autruche. Beaucoup de travail reste à faire.